отметь, пожайлуста, как лучшее решение!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Le soldat en chocolat
Hector, le soldat en chocolat, est bien malheureux. Il a toujours peur de fondre, partout il recherche l’ombre. Il se cache sous le chapeau des dames, ou sous les arbres. A Noël, il ne peut pas s’asseoir près du feu avec les autres jouets. La vie d’Hector est bien pénible, mais il court un plus grand danger…
… C’est Mathieu l’Affreux ! Mathieu l’Affreux est gras et paresseux. Il adore le chocolat : les bonbons en chocolat, les œufs en chocolat… Et les lapins en chocolat. Mais, surtout, les soldats en chocolat !
« Je passe ma journée à me cacher », dit Hector en soupirant à ses amis, Mimi, la poupée, et Rataplan, le pantin. Grâce à leur aide, Hector arrive toujours à s’échapper. Souvent il rêve du pays de la neige où les soldats en chocolat ne fondent jamais.
« Ce soir, je me sauverai ! » chuchote-t-il un jour à Mimi et à Rataplan. Ses amis décident de l’accompagner. A minuit, ils passent a pas de loup devant la porte de Mathieu l’Affreux. Ils glissent sur la rampe d’escalier, sortent vite par la porte et sont bientôt dehors. Alors Mimi dit : » Demandons le chemin aux souris en sucre. Elles savent où est le pays de la neige. »
Les souris en sucre sont à la faire. « Nous en avons assez d’être des lots de consolation. Nous venons avec vous », disent-elles.
« Voulez-vous aider Hector à trouver le pays de la neige ?
- Bien sûr, grimpez. »
« Nous allons vous conduire là-bas, mais prenez garde aux géants de la neige ! »
Soudain, une boule de neige frappe Hector. Il tombe du dos de la souris.
« Ce sont les géants de la neige ! » Mimi et Rataplan tombent aussi.
Les trois amis sont couchés sur la neige. Lentement, les géants s’approchent…
Les souris en sucre volent à travers les boules de neige pour chercher du secours.
« Halte ! Qui va là ?
- Le soldat en chocolat est en danger ! Et Mimi et Rataplan aussi ! »
« Vite ! Partons à leur secours ! »
Le régiment se met en route… Ils arrivent juste à temps. A leur vue, les géants s’enfuient à toutes jambes. Hector rejoint enfin son régiment au pays où les soldats ne fondent jamais. Ses amis lui promettent de revenir le voir. Il est enfin heureux.